Généalogie de la famille Méresse - Facon

Notre Généalogie Familiale

Notes


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 #   Notes   Lié à 
351 #Générale#Abbesse d'Oeren de 0698 à 0706 DE PANNONIE, Bertrade ou Berthe (I70218)
 
352 #Générale#Abbesse d'Argenteuil en 0828 CAROLINGIEN, Théotrade (I13906)
 
353 #Générale#Abbesse d'Herford DE SAXE, Emma (I80506)
 
354 #Générale#Abbesse d'Herford DE SAXE, Godestie (I80512)
 
355 #Générale#Abbesse de Faremoutier D'ESTANGLIE, Sithred ( Sainte) (I35310)
 
356 #Générale#Abbesse de Farmoutier D'ESTANGLIE, Aedelberg (Sainte ) (I35311)
 
357 #Générale#Abbesse de Hohenbeurg D'ALEMANIE, Eugénie (I723)
 
358 #Générale#Abbesse de l'Abbaye aux dames à Caen 14 Fr DE NORMANDIE, Cécilia (I69145)
 
359 #Générale#Abbesse de Laon en 0841 DE FRANCE, Rotrude ou Hildegarde (I38405)
 
360 #Générale#Abbesse de Moyemoutiers DE HAUTE LORRAINE, Beatrix Béatrice (I44521)
 
361 #Générale#Abbesse de Ninder-Munster D'ALEMANIE, Gundelind (I722)
 
362 #Générale#Abbesse de Remnade DE SAXE, Friedrun (I80507)
 
363 #Générale#Abbesse de St Etienne de Strasbourg D'ALEMANIE, Athalde ou Attalie (I724)
 
364 #Générale#Abbesse de St Etienne de Strasbourg D'ALSACE, Basille (I83656)
 
365 #Générale#Abesse de Maubuisson DE BRIENNE, Blanche (I11135)
 
366 #Générale#ABT
2ème épouse de Louis Ier de Sancerre et veuve de Dreux deMello, seigneur de Loches. 
Famille (F5246)
 
367 #Générale#ABT
2ème èpouse. 
Famille (F856)
 
368 #Générale#ABT
Divorce pour cause de parenté. 
Famille (F2736)
 
369 #Générale#ABT
Fin Mariage : avant 1289 
Famille (F2458)
 
370 #Générale#ABT
Incertain : Patrick Deret l'appele Agnès et situe lemariage en février 1231, et la fait décéder en 1261. Yaurait-il eu deux épouses successives ? 
Famille (F4539)
 
371 #Générale#ABT
Mariage : 1196/1198 
Famille (F983)
 
372 #Générale#ABT
Mariage : avant juillet 1224 
Famille (F1249)
 
373 #Générale#ABT
Mariage : avant le 13 octobre 1225 
Famille (F5220)
 
374 #Générale#ABT
Mariage : avant le 20 septembre 1254. 
Famille (F2798)
 
375 #Générale#ABT
Mariage : avant ou vers 1140 
Famille (F1641)
 
376 #Générale#ABT
Mariage : dès novembre 1263 
Famille (F5627)
 
377 #Générale#ABT
Mariage : en 1181 ou 1186. 
Famille (F311)
 
378 #Générale#ABT
Mariage : ou 1220 (?) 
Famille (F2912)
 
379 #Générale#ABT
Mariage : vers 1167 ou vers 1184 (?) 
Famille (F1844)
 
380 #Générale#ABT
Sans postérité. 
Famille (F3769)
 
381 #Générale#ABT Famille (F1689)
 
382 #Générale#ABT Famille (F2383)
 
383 #Générale#Achete a son beau-pere une tannerie a Soignies le 14/11/1524, jure de Soignies 1529-1531 puis maieur en 1539 et 1540 DU LEULOY DE BUISSOT, Nicolas (I109540)
 
384 #Générale#Acte 82 le 04.07.1652
Casyne ELLEBOODE +sous la seigneurie de Buysscheure le 26.06.1652 veuve de Mathieu van de KERCKHOVE
-entre Jean SANTFORT x Jeanne van de KERCKHOVE
-Jean, Jossyne, Jeanne et Mayken van de KERCKHOVE, Nicaise CAILLIAU x Casyne van de KERCKHOVE, les 5 enfants de Jean van de KERCKHOVE x Marguerite EMMERY -font ensemble 1 hooft
-Mahieu, Pierre, Deryck et Marguerite Cailliau, Robert François x Casyne CAILLIAU, et Jeanne CAILLIAU veuve de Cornil van GENDT, les 6enfants de Jean CAILLIAU x Casyne van de KERCKHOVE - font aussi une hooft
-Jean ROMMELAERE x Mayken SANTFORT, beau père et bailliehouder de Louise van de KERCKHOVE fille de Derick x Maiken SANTFORT - faisant aussi une hooft
une huisplecke à Lederzeele, terres sous Bonegam, terres à Lederzeele, Buysscheure et seigneurie de Haverskerke 
Famille (F3526)
 
385 #Générale#acte de naissance de Michel ° 22/02/1652 : Louise fa Jean
Ascendance communiquée par Pierre SONNEVILLE
Confirmation publication FAG N° 1/2000 p 16 
DRIEUX, Louise (I98904)
 
386 #Générale#acte incomplet, manque la première partie DARTEVELLE, Anne Marie Joseph (I21419)
 
387 #Générale#AD PdC Généalogie Le Pippre par G.Sens 1923 (Rod/1/17)

François Le Pippre vivait en 1600 et habita Lorgies prés de La Bassée.
Il épousa Adrienne Le Prévost. 
LE PIPPRE, Francois (I72629)
 
388 #Générale#AD62 - 4E98/10 - folio 199 Recto - 25/4/1711 - Mariage
Charles François DELERUE jeune homme à marier fils de feu Pierre et Pétronille PRUVOST demeurant au village d’AMES
- Marie Françoise PAYEN jeune fille à marier fille de feu Pierre et encore vivante Marie Jeanne DUMAISNIL à présent femme à Robert CARDEUX demeurant à LONGUENESSE lez Saint Omer assistée dudit CARDEUX, Monsieur Jean Baptiste DUMAISNIL prêtre curé du village d’ELMES. 
Famille (F3121)
 
389 #Générale#AD62 2J10/163R -18/9/1698 - Contrat de mariage
Marie CARRÉ veuve Guilain THOBOIS demeurant à Liévin, Guilain THOBOIS son fils à marier assisté de Michel THOBOIS son frère et de Laurent LAURENT son oncle demeurant audit Liévin
- Jeanne CARPENTIER veuve de Pierre LAURENT demeurant à Liévin et Françoise LAURENT sa fille à marier assistée de Pasquez et Jean LAURENT ses frères, de Adrien THOBOIS son beau-frère audit Liévin. 
Famille (F2185)
 
390 #Générale#Adalbert est le fils d'Esico de Ballenstedt et de Mathilde de Souabe et le neveu d'Ute de Ballenstedt. Il est cité en 1033 dans les chroniques. Il devient comte en Thuringe du nord puis dans le pays de Nizizi et dans le pays de Serimunt (dans l'actuelle Saxe-Anhalt). Selon le chroniqueur Lambert de Hersfeld, il prend le parti de Dedo II (qui avait épousé la belle-mère d'Adalbert devenue veuve et prétendait donc aux terres d'Othon de Meissen) contre l'empereur en 1069, puis il se range du côté d'Othon de Northeim contre Henri IV pendant la rébellion des Saxons de 1072. Un an plus tard, il obtient la prévôté de l'abbaye de Nienburg qu'il dote de nouveaux domaines. Il est arrêté quelques mois en 1075 à cause de son opposition à l'empereur.
Adalbert de Ballenstedt épouse en 1068 Adélaïde, fille et héritière du titre du comte Othon Ier, comte de Weimar et d'Orlamünde, et margrave de Meissen. De ce mariage sont issus :
Othon le Riche (vers 1070-1123) : qui hérite de son père, et devient duc de Saxe
Siegfried (vers 1075-1113) : qui hérite de sa mère et devient comte palatin du Rhin.
Adalbert est tué vers 1080 (après 1076 et avant 1083) par un homme-lige d'Egeno II de Conradsburg. La cause de cette mort est obscure. Peut-être qu'Egeno avait profité du fait qu'Adalbert avait été incarcéré en 1075-1076, pour s'emparer de certaines de ses terres, ce qui avait provoqué l'inimitié entre les deux seigneurs. Il existe toujours une croix de pierre dont la tradition - ou la légende - indique qu'elle a été élevée à l'endroit même du meurtre, près de Westdorf (dépendant aujourd'hui d'Aschersleben). La veuve d'Adalbert épouse ensuite le comte palatin Hermann II de Lotharingie, de la Maison des Ezzonides, puis Henri II de Laach de la Maison de Luxembourg 
DE BALLENSTAEDT, Adalbert II (I103524)
 
391 #Générale#Adalhard "von Burc" Laienabt von Cysoing
--------------------------
836- nach 874

Jüngerer Sohn des Markgrafen Eberhard von Friaul aus dem Hause der UNRUOCHINGER und der Gisela, Tochter von Kaiser LUDWIG I. DER FROMME


Brandenburg Erich: Tafel 1 Seite 2
****************
"Die Nachkommen Karls des Großen."

IV. 27. ADALHARD
---------------------------
* ..., + nach 874 1. VIII.

Anmerkungen: Seite 113
------------------
IV. 27. Adalhard
erhielt im Testament des Vaters Cysoing. Zuletzt 1. VII. 874, d'Achery, Spicil 2, 878.

Ergänzung (Werner):
--------------------------
Inhaber der Hausabtei Cysoing. [IV 28]



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Werner Karl Ferdinand: Seite 452
*******************
"Die Nachkommen Karls des Großen bis um das Jahr 1000 (1.-8. Generation) Band IV in: Braunfels Wolfgang: Karl der Große Lebenswerk und Nachleben."
IV. 28
Das Datum der Urkunde, in der Adalhard zuletzt erwähnt wird, gibt B. auf der Tafel versehentlich mit 874 VIII 1, in der Anmerkung richtig 874 VII 1 an (= Coussemaker 10, nr. 5).



--------------------------------------------------------------------------------

Thiele, Andreas: Tafel 391
*************
"Erzählende genealogische Stammtafeln zur europäischen Geschichte Band II, Teilband 2 Europäische Kaiser-, Königs- und Fürstenhäuser II Nord-, Ost- und Südeuropa"
ADALHARD
------------------
+ nach 874

Adalhard erhielt 866 die niederländischen Besitzungen und die in der Baar und wurde Inhaber der Hausabtei Cyosoing.

oo N.N.
+



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Jahrbücher von St. Vaast: Seite 295
*********************
in: Quellen zur karolingischen Reichsgeschichte Band VI
Das Jahr 879.

Im Jahre des Herrn 879 starb Graf Balduin, mit Zunamen der Gute, und wurde in dem Kloster Sithdiu begraben. Auch König Hludowich verfiel in schwere Krankheit, und am heiligen Charfreitag, im 33. Lebensjahr, in der zwölften Indiction, beschloß er sein Leben und wurde in der Kirche der heiligen Mutter Gottes, Maria, bestattet, welche sein Vater mit königlicher Pracht in seiner Pfalz Compendium hatte erbauen lassen. Nach seinem Tode aber entstand unter den Franken trauriger und verderblicher Zwiespalt. Denn Abt Hugo, der Treue eingedenk, welche er dem König Hludowich, seinem Vetter, geschworen hatte, wollte mit den ihm Gleichgesinnten dessen Söhne, Hludowich und Karlmann, in das väterliche Reich als Könige einsetzen; Abt Gozlin aber und Graf Chuonrad und viele andere, diesen Gleichgesinnte, riefen den obengenannten König Hludowich ins Reich.

Während diese so in Streit mit einander lagen, kamen die Nortmannen, welche jenseits des Meeres wohnen, da sie von dieser Uneinigkeit Kunde erhalten hatten, auf ihren Schiffen in ungeheurer Menge über das Meer gefahren und verwüsteten um die Mitte des Monat Juli mit Feuer und Schwert, ohne
Widerstand zu finden, die Stadt der Moriner, Tarvenna. Und als sie gesehen, wie gut ihnen der Anfang geglückt war, verheerten sie umherziehend das ganze Land der Menapier mit Feuer und Schwert. Darauf drangen sie in den Fluß Scaldus ein und richteten das ganze Land der Bracbansier durch Feuer und Schwert zu Grunde. Indem aber Hugo, der Sohn Hlothars, gegen sie die Waffen erhob, trug er unbedachtsam nicht wenig dazu bei, ihren Uebermuth noch zu erhöhen; denn er vollbrachte nichts Glückliches und Nützliches, sondern floh vielmehr schimpflich von dannen, nachdem von seinen Genossen die meisten getödtet und gefangen genommen worden waren. Unter den Gefangenen befand sich auch der Abt, Adalards Sohn.

Hlawitschka Eduard: Seite 163
*****************
"Die Anfänge des Hauses Habsburg-Lothringen. Genealogische Untersuchungen zur Geschichte Lothringens und des Reiches im 9., 10. und 11. Jahrhundert."

Bejaht man diese Interpreatation - sie hat, soweit ich sehen, noch keinen Widerspruch erhalten [53 Ohne Widerspruch auch K.F. Werner, Untersuchungen zur Frühzeit des französischen Fürstentums I, in: Welt als Geschichte 18 (1958) Seite 275 Anm. 91. Gegen die ältere Deutung von C. v. Kalckstein, in dem ungenannten Abt sei der Abt Rudolf von St. Vaast zu sehen und dieser als Sohn des UNRUOCHINGERS Adalhard (Sohn Eberhards von Friaul) zu betrachten, vgl. schon P. Hirsch, Die Erhebung Berengars I. (1910) Seite 75 Anm. 3. Diese ältere Sicht ist indessen erst jüngst wieder eingegangen in den Notenapparat der von R. Rau besorgten Ausgabe der Annales Vedastini; Freiherr-vom-Stein-Gedächtnisausgabe VI, Quellen zur karolingischen Reichsgeschichte II (1958) Seite 295 Anm. 2.] -, so hat man ein Zeugnis für die Herleitung Adalhards II. von dem berühmten Seneschall Adalhard gefunden.

854
oo Swanaburc
-

Kinder:

Berengar Graf der Hattenhuntare
um 855- nach 892

Eberhard Graf im Sülichgau
um 856- nach 889

Rudolf Abt
-

Adalhard
-

Ernst

Literatur:
-----------
Borgolte Michael: Die Grafen Alemanniens in merowingischer und karolingischer Zeit. Eine Prosopographie. Jan Thorbecke Verlag Sigmaringen 1986 Seite 66 - Brandenburg Erich: Die Nachkommen Karls des Großen Verlag Degener & Co Neustadt an der Aisch 1998 Tafel 1 Seite 2,113 - Decker-Hauff, Hansmartin: Die Ottonen und Schwaben, in: Zeitschrift für württembergische Landesgeschichte 14 (1955) Seite 279 - Hlawitschka Eduard: Die Anfänge des Hauses Habsburg-Lothringen. Genealogische Untersuchungen zur Geschichte Lothringens und des Reiches im 9., 10. und 11. Jahrhundert. Kommissionsverlag: Minerva-Verlag Thinnes Nolte OHG Saarbrücken 1969 Seite 163 - Jahrbücher von St. Vaast. Quellen zur karolingischen Reichsgeschichte Band VI Wissenschaftliche Buchgesellschaft Darmstadt 1972 Seite 294 - Thiele, Andreas: Erzählende genealogische Stammtafeln zur europäischen Geschichte Band II, Teilband 2 Europäische Kaiser-, Königs- und Fürstenhäuser II Nord-, Ost- und Südeuropa, R.G. Fischer Verlag 1994 Tafel 391 - Werner Karl Ferdinand: Die Nachkommen Karls des Großen bis um das Jahr 1000 (1.-8. Generation) Band IV in: Braunfels Wolfgang: Karl der Große Lebenswerk und Nachleben. Verlag L. Schwann Düsseldorf Seite 452 - 
DE FRIOUL, Adalhard (I12124)
 
392 #Générale#Adalhard I. Seneschall
------------ Laienabt von Echternach
810- 870 Laienabt von St. Martin in Tours

Jüngerer Sohn des Grafen Leuthard von Fezensac und der Grimhild


Eduard Hlawitschka: Seite 163-165
****************
"Die Anfänge des Hauses Habsburg-Lothringen. Genealogische Studien zur Geschichte Lothringens und des Reiches im 9.,10. und 11. Jahrhundert"

Adalhard I., seit 831 Seneschall LUDWIGS DES FROMMEN, war bis zum Tode LUDWIGS stets in dessen engerer Umgebung. Schon bald dem jungen KARL DEM KAHLEM als besonderer Begleiter beigegeben, war er nach LUDWIGS Tode dessen spezieller Repräsentant. Auf dem Höhepunkt seines Einflusses gelangte er dadurch, daß er 841 bei Fontenoy mit seinem Anhang entscheidend zur Rettung KARLS DES KAHLEN vor LOTHAR I. beitrug und 842 seine Nichte Ermentrud, die Tochter des 834 gefallenen Odo von Orleans und Ingeltruds, mit KARL DEM KAHLEN zu verheiraten vermochte. Er war unter LUDWIG DEM FROMMEN Laienabt von St. Martin in Tours geworden und blieb es bis Ende 844, als er diese Abtei mit der von Saint-Quentin vertauschte. Dann hatte er 849, ohne seine umfangreichen Besitzungen im Westreich zu verlieren, sein Betätigungsfeld in das lotharingische Mittelreich verlegt. Dort fand man ihn als Laienabt von Echternach, St. Maximin in Trier, Stablo-Malmedy und St. Vaast zu Arras und traf ihn auch bald als Verwalter von Lorsch an. Nach dem Tode LOTHARS I. war er auch bei Lothar II. ein dilectissimus. Jedoch wurde er schließlich 861 dort mehr oder weniger Opfer der andauernden Gegnerschaft seiner Verwandten - Graf Berengar, Graf Uto und Abt Waldo - zu Ludwig dem Deutschen bei gleichzeitiger Aussöhnung Lothars II. mit Ludwig dem Deutschen. Mit dem zu ihm geflohenen ostfränkischen Verwandten mußte er das Mittelreich verlassen. Von KARL DEM KAHLEN mit Freuden wieder aufgenommen und zum baiolus seines Sohnes Ludwigs des Stammlers eingesetzt sowie mit der Wacht gegen die Normannen betraut, wurde er jedoch wegen Mißerfolgs in der 2. Aufgabe 865 von KARL wieder seiner Stellung beraubt. Darauf kehrte Adalhard ins Lothar-Reich zurück. Von dort aus konnte er es noch einmal wagen, seinen früheren Einfluß zurückzugewinnen. Er versuchte, seine Tochter mit Ludwig dem Jüngeren, dem Sohne Ludwigs des Deutschen, zu verheiraten, scheiterte aber nach der raschen Verlobung am Widerspruch Ludwigs des Deutschen, der in dieser Haltung auch noch von KARL DEM KAHLEN bei einem Zusammentreffen in Köln bestärkt worden war.
Denn Adalhard I. kann seinerseits als Bruder Gerhards von Vienne wie auch Ingeltruds, der Gemahlin Odos von Orleans und Mutter der 1. Gemahlin KARLS DES KAHLEN, Ermentrud, gelten [Daß der Seneschall Adalhard dieser Familieder Grafen von Paris und Begos, des Erneuerers des Kloster Saint-Maur-des-Fosses, angehörte, ist vor allem gesichert durch KARLS DES KAHLEN Diplom vom 2. August 853 , in dem Adalhard, obgleich er in jener Zeit in den Diensten LOTHARS I. stand, als Intervenient für eine Schenkung von Königsgut, welches KARL ehedem an ihn gegeben hatte, an das Kloster Fosses auftritt. Diese Schenkung wird dabei ausdrücklich auch zur Mehrung von Adalhards Seelenheil bestimmt. Darauf weisen besonders R. Louis,a.a.O. Seite 27 Anm. 2, und K.F. Werner, Die Nachkommen Seite 431 Anm. 8, hin. Nicht zu vergesssen ist in diesem Zusammenhang vor allem auch die Erwähnung Adalhards in der oben Anm. 65 zitierten Gründungsurkunde von Vezelay.].

Alfred Friese: Seite 106 "Studien zur Herrschaftsgeschichte des fränkischen Adels"

Über die Auflösung der Verlobung unter Vermittlung KARLS DES KAHLEN Annales Bertiniani ad. a. 865 S. 80. Adalards Nichte Irmintrud, Tochter des Grafen Odo von Orleans, eine leibliche Cousine Roberts IV., war mit KARL II. verheiratet. Es ist hinreichend bekannt, welche Vorteile Adalards Sippe und auch die ROBERTINER zunächst aus dieser Verbindung gezogen haben. Als sich KARL II. den WELFEN, der Familie seiner Mutter, zuwandte, ging Adalard um 849 zu LOTHAR ins Mittelreich. Von ihm erhielt er die Abteien Echternach, St. Maximin in Trier, Stablo-Malmedy und St. Vaast in Arras. Nach der Annäherung LOTHARS an Ludwig den Deutschen kehrte er ins Westreich zurück, wo er Abt und Graf von Autun wurde, vielleicht auch die Abtei St. Quentin erhielt. Sein gleichnamiger Sohn ist im Ostreich aufgestiegen und war in den Jahren 872 und 876 Gesandter Ludwigs des Deutschen bei KARL II.; er erhielt die Abtei Lorsch und Grafenrechte in der Wetterau; sein Vetter Waldo wurde Erzbischof von Trier.

Karl Ferdinand Werner: Seite 430-431
******************
"Die Nachkommen Karls des Großen"

Da uns auch für Eberhards Bruder Leuthard über Ehe ud Kinder nichts überliefert ist, konzentriert sich unser Interesse auf jenen nepos Adalhard, über den wir im Diplom KARLS DES KAHLEN vom 8. Juni 871 unterrichtet werden. Eine Identifizierung, die Rene Louis vorgenommen hat, muß hier gleich zurückgewiesen und aus unseren Überlegungen ausgeschlossen werden. Louis übersetzte das in der Tat ja sehr vielfältig vewendete nepos der Urkunde mit "Vetter" und sah in Adalhard den berühmten "Seneschall Adalhard", der dieses Amt unter dem alternden LUDWIG DEM FROMMEN ausgeübt hatte, den Gipfelpunkt seines Einflusses jedoch erreichte, als er mit seinem Anhang entscheidend zur Rettung KARLS DES KAHLEN vor LOTHAR I. beitrug und seien Nichte Ermentrud dem jungen König zur Frau geben konnte [Zu Adalhard, dem Seneschall LUDWIGS DES FROMMEN und führenden Ratgeber KARLS DES KAHLEN, dann LOTHARS I. und endlich erneut KARLS DES KAHLEN vgl. Werner, Untersuchungen 274f., 155f. Seine Zugehörigkeit zur Familie Begos, des Restaurators von Fosses, ist urkundlich gesichert durch das Diplom KARLS DESKAHLEN von 853 VIII 2 (ed. G. Tessier 1, nr. 157 - vgl. auch Bemerkung des Hrsg. Seite 415 -, in dem Adalhard, obgleich zu dieser Zeit im Dienste LOTHARS I., als Intervenient und Schenker (aus Königsgut, das an ihn gekommen war) auftritt, zugunsten der Abtei Fosses, so daß die Schenkung ausdrücklich auch zu seinem Seelenheil vom König bestimmt wird.]. Wir brauchen uns gar nicht dabei aufzuhalten, daß der im Diplom von 871 als lebend vorausgesetzte Adalhard schon darum der einstige Seneschall sein dürfte, weil wir gar nicht wissen, ob jener ältere Adalhard 871 noch lebte - das Problem erledigt sich durch den Umstand, daß im gleichen Diplom, im folgenden Absatz, das Verwandtschaftsverhältnis zwischen Eberhard, dem Alpais-Sohn, und Adalhard, seinem Erben, mit avunculus umschrieben wird, was Louis übersah. Adalhard ist also hier mit Sicherheit der Neffe Eberhards, jede Identifizierung mit dem greisen "Seneschall" ist amit ausgeschlossen.

Adalard le Sénéchal

Adalard, ou Alard, dit le Sénéchal, était un noble catrolingien, fils de Leuthard de Fézensac et frère de Girard, comte de Paris.

Il fut sénéchal de l'empire carolingien sous le règne de Louis le Pieux mais, à la fin de la vie de ce dernier, prit le parti des enfants de l'empereur contre leur père, puis celui des fils cadets Louis le Germanique et Charles le Chauve contre leur aîné Lothaire Ier. Il incita d'ailleurs Charles le Chauve à épouser Ermentrude d'Orléans, fille d'Eudes, duc d'Orléans et de sa soeur Ingeltrude. Après la partage de l'empire en 843, au traité de Verdun, il suivit Louis le Germanique en Francie Orientale.

Compromis en 861, lors de la révolte de Carloman contre son père en 861, il s'enfuit de Germanie avec ses parents Udo, Bérenger et l'abbé Waldo pour se réfugier à la cour de Charles le Chauve, qui leur donna la marche de Neustrie, avec la mission de la défendre contre les Normands. Mais cette faveur suscita la jalousie des Rorgonides, puissament implantés dans le Maine, qui se révoltèrent et se rallièrent à Salomon de Bretagne. Afin de ramener la paix, Charles le Chauve retira la marche de Neustrie à Alard et ses cousins pour le donner au rorgonide Gauzfrid du Maine.

Source :
Pierre Riché, Les Carolingiens, une famille qui fit l'Europe
Hubert Guillotel, « Une autre marche de Neustrie », dans Christian Settipani et Katharine S. B. Keats-Rohan, Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval







Kinder:

Adalhard II.
um 840- 889/90

Tochter

Literatur:
----------
Hlawitschka, Eduard: Die Anfänge des Hauses Habsburg-Lothringen. Genealogische Studien zur Geschichte Lothringens und des Reiches im 9.,10. und 11. Jahrhundert, Saarbrücken 1969, Seite 74,158,163-165,167-169,171-173 - Karl Ferdinand Werner: Die Ursprünge Frankreichs bis zum Jahr 1000, Deutscher Taschenbuch Verlag GmH & Co. KG, München 1995, Seite 429f., 439 - Pierre Riche: Die Karolinger, Deutscher Taschenbuch Verlag GmH & Co. KG, München 1991, Seite 200f, 228 - Rudolf Schieffer: Die Karolinger, Verlag W. Kohlhammer Stuttgart-Berlin-Köln Band 411, 1992, Seite 136,145,157 - 
DE METZ, Adalhard Ier (Adalbert) (I64131)
 
393 #Générale#Adalhard II. Graf von Metz bzw. vom Moselgau
-------------
um 840- 889/90

Sohn des Seneschalls Adalhard I.


Adalhard II. war zwischen den Jahren 872 und 889/90 als Graf von Metz bzw. vom Moselgau bezeugt. In den Jahren 872 und 876 war er Mitglied von Delegationen des ostfränkischen Königs an den westfränkischen Herrscher. 873 führte er den jungen Karlmann, dem auf Geheiß seines eigenen Vaters König KARLS DES KAHLEN im Westreich wegen Unbotmäßigkeit die Augen ausgestochen worden waren und der aus der zusätzlichen Kerkerhaft mit Hilfe von Freunden hatte entfliehen können, dem Ostfrankenherrscher Ludwig dem Deutschen zu. Er besiegte im Jahre 880 die Unruhe hervorrufenden Anhänger Hugos, des Fridelsohnes Lothars II. und der Walderada, kämpfte aber 882 bei Remich an der mittleren Mosel unglücklich gegen die Normannen. Gleichzeitig war er auch Laienabt von Echternach bis 889/90.

oo N.N., Tochter oder Nichte Matfrieds II.
-
Kinder:

Gerhard
870-22.6.910

Matfried
875- nach 926

Richar Bischof von Lüttich (923-945)
880-10.8.945 Abt von Prüm (899-923)

Literatur:
-----------
Hlawitschka, Eduard: Die Anfänge des Hauses Habsburg-Lothringen. Genealogische Studien zur Geschichte Lothringens und des Reiches im 9.,10. und 11. Jahrhundert, Saarbrücken 1969, Seite 72,74,127,138,146,156,162-165,168,171,176,180 - 
DE METZ, Adalhard II (Adalbert) (I64132)
 
394 #Générale#Adalricus/Eticho Herzog im Elsaß (673/75-nach 682)
-----------------
- nach 682

Sohn des Hausmeiers Liuthericus


Lexikon des Mittelalters: Band I Spalte 105
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Adalrich (Attich, Eticho), Herzog des Elsaß 673-700
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Stammte wahrscheinlich aus Burgund und war zunächst Patricius der Provence. Wurde dann von König Childerich II. zum Herzog ernannt und stellte sich nach dessen Ermordung auf die Seite des neustrischen Hausmeiers Ebroin, mit dem er sich aber bald überwarf. Adalrich anerkannte nun Dagobert II., den Sohn König Sigiberts III., den man aus Irland zurückgerufen hatte, als König. Daraufhin konfiszierte Ebroin alle seine Güter in Burgund. Adalrich regierte sein Herzogtum gewalttätig und ließ den heiligen German von Münster-Granfelden und den Bibliothekar des Klosters ermorden, als dieser sich ihm widersetzten. Durch fromme Stiftungen versuchte er, seine Gewalttaten gutzumachen. So gründete er das Frauenkloster Hohenburg, dem seine Tochter Odilia als erste Äbtissin vorstand, die später Schutzpatronin des Elsaß wurde. Auch das Kloster Ebersmünster nördlich von Schlettstadt geht auf Adalrichs Gründung zurück. Das Leben des Herzogs ist Gegenstand zahlreicher Legenden.
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Eugen Ewig:
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"Die Merowinger"

Eticho, der einem frankoburgundischen Geschlecht entstammte und der Gründer der Herzogsdynastie war, kam unter Childerich II. um 673 an den Rhein, wo er unter diesem Herrscher bezeugt ist. Sein Versuch, sich nach der Ermordung des Königs der Provence zu bemächtigen, scheiterte vor Lyon. Als Herzog im Elsaß hatte sich Eticho von der Zentralgewalt emanzipiert und setzte die Erblichkeit der Herzogswürde auch im Elsaß durch. Die vorher mit der Verwaltung des Königsguts beauftragten Grafen verschwinden. Eticho gründete für seine Tochter Odilia das Frauenkloster Hohenmünster bei Straßburg und die Abtei Ebersheim. Im Herzogtum folgte ihm wohl noch vor dem Tod Pippins sein Sohn Adalbert.

Heinrich Büttner:
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"Geschichte des Elsaß I" 1991

Im Jahre 673 war Herzog Eticho an die Stelle des 664/66 noch in einer Urkunde für Speyer genannten Herzogs Bonifatius getreten. Es ist die markanteste Gestalt, deren Bild wir uns unter den elsässischen Herzögen am lebendigsten ausmalen können. Von ihm ab ist das Herzogtum im Elsaß bis zu seinem Erlöschen ca. 740 wohl bei derselben Familie verblieben. Herzog Eticho tritt uns wieder im Sornegau entgegen; er wollte das Juragebiet fester in seine Herrschaftssphäre einbeziehen, als es während des ersten Versuches unter Gundoin und zu Lebzeiten des nur wenig bekannten Herzogs Bonifatius geschehen war. Der Sornegau blieb unter dem intensiven Einfluß des elsässischen Herzogtums. Eine weiter Ausdehnung des elsässischen Machtbereiches nach der Burgundischen Pforte hin erfolgte auch unter Eticho nicht, obschon die Beziehungen Etichos nach Burgund selbst sehr rege waren. Eticho war an den Streitigkeiten beteiligt, die zwischen dem Hausmeier Ebroin und Leodegar, dem Bischof von Autun, ausgebrochen waren und zu Spannungen und Kämpfen größten Ausmaßes im MEROWINGER-Reich führten. Unter Herzog Eticho tritt das untere Elsaß, von dem während der 1. Hälfte des 7. Jahrhunderts fast jede Kunde verloren ist, wieder etwas deutlicher in das Licht der Geschichte. Als Familiengründung der ETICHONEN ist auf einer der beherrschenden Höhen das Kloster Hohenburg um die Wende des 7. zum 8. Jahrhundert entstanden. Aus der Vita s. Odiliae, ergibt sich mit Sicherheit, dass die Gründung Hohenburgs auf die Einflußnahme Odilias zurückgeht, dass aber Herzog Eticho aufs stärkste daran beteiligt war, ja nach außen hin als der eigentliche Stifter auftrat. Johenburg, auf beherrschender Höhe über den Vogesen aufragend, galt in der Überlieferung später als die Residenz des Herzogs Eticho. Auch das Kloster Ebersheimmünster ist eine Gründung des ETICHONEN-Hauses. Herzog Eticho und seine Gemahlin Bersuinda gründeten nach allgemeiner Überlieferung der Quellen die Abtei auf ihrem Eigengut zu Ehren des heiligen Mauritius. Auch in der Bischofsstadt Straßburg besaß das elsässische Herzogsgeschlecht größeren Besitz.

Franz Vollmer: Seite 137, 141-147 "Die Etichonen"

Herkunft: Seite 142
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Adalrichs Herkunft ist unbekannt. Er ist mit den Austrasiern alliiert und möglicherweise selbst austrasischen Ursprungs. Jedenfalls zählt er unbestreitbar zu der obersten fränkischen Führungsschicht. Zusammen mit anderen Männern aus allen Teilen des Reiches ist er bei Ebroin zu finden, verläßt später Theoderich III. und schließt sich Dagobert II. an, den er zusammen mit anderen Großen für einige Jahre auf den Thron von Austrasien setzt. Theoderich III. bestraft ihn dafür und konfisziert seinen burgundischen Besitz, um ihn an Kloster Beze zu geben. Burgund war die erste faßbare Basis Adalrichs. Von hier aus hatte er versucht, den Patriziat der Provence zu gewinnen, war aber vor Lyon gescheitert.
Politische Pläne und Handlungen weisen Adalrich so in den Kreis austrasischer Edelinge, die unter den schwachen MEROWINGER-Herrschern zum Teil als Träger fränkischer Gesamtinteressen, zum Teil als Verfechter eigener persönlicher Machtpläne das politisch aktive Element bilden. Er hat wahrscheinlich völlig auf die Karte der PIPPINIDEN, der austrasischen Hausmeier, gesetzt, deren Aufstieg auch seine Stellung endgültig sicherte. Von Burgund aus kommt Adalrich ins Elsaß, um hier an die Stelle des 664/65 noch genannten Herzogs Bonifatius zu treten.
Was aber ist von den Vorfahren Adalrichs in Erfahrung zu bringen?
Die Vita Otiliae nennt als Vater des dux illuster Adalricus/Etih einen Liuthericus, maior domus des Childerich III. (660-674). Von diesem Hausmeier Liuthericus wissen wir sonst nichts. Trotz aller Erörterungen über die Vorfahren Etichos kann auch jetzt die gesicherte Geschichte erst mit der Person des Herzogs Adalricus/Eticho selbst um 670 einsetzen.

Berswindas Herkunft: Seite 146
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Adalrichs Gemahlin ist nach der Vita S. Otiliae, der Ebersheimer Chronik und nach der ins 12. Jahrhundert gehörenden Ebersheimer Falschurkundengruppe Berswinda (Bersuinda/Perethsinda/Bersinda). Die Odilienvita nennt sie "ex nobilissimus prohenitoribus orta"; nach ihr stammt Berswinda von der Familie des heiligen Leodegar ab. Nach der Leodegarsvita stammen dessen Eltern aus vornehmster Frankenfamilie. Über die unmittelbare Verwandtschaft Leodegars wissen wir recht gut Bescheid; sie profiliert sich in den Kämpfen um den Sturz des Königs Childerich III. 675 und wird von Ebroin zerschlagen.
Wie aber können die Aussagen über die Herkunft der Berswinda aus diesem burgundisch-mittelfranzösischen Adelskreis unterbaut werden?
Leodegar wird in der ETICHONEN-Familie stark verehrt. Eberhard läßt 727 seine Neustiftung Murbach diesem Märtyrer weihen. Auch die Namensvergleichung ergibt stützende Hinweise: der Name Bodilo kehrt in Bodolus, dem Enkel des Paares Adalricus-Berswinda, wieder, und vielleicht ist die Silbe Liut-/Leod- der etichonischen Familie von Leodegar herzuleiten. Eine urkundliche Sicherung dieser Herkunft der Berswinda fehlt aber. Sowohl für Adalricus/Eticho wie auch für seine Gemahlin Berswinda ist bei der Lückenhaftigkeit und Gegensätzlichkeit der Quellenaussagen noch keine endgültige Sicherheit in der Frage der Vorfahren erreicht. Übereinstimmend aber wird die Herkunft von vornehmsten und politisch aktiven fränkischen Adelsgruppen hervorgehoben. Etichos Betrauung mit dem elsässischen Dukat liegt so wesentlich in seiner Herkunft begründet.

In den Adelskämpfen nach dem Rücktritt Balthildes (664-667) hatte der Hausmeier von Neustrien, Ebroin, auch zeitweise Audalricus gewonnen, der hoffte, Herzog von Burgund und der Provence zu werden, aber vor Lyon scheiterte. Als sich der Eigenwille Austrasiens gegen den zentralistischen Ebroin im KAROLINGER Pippin sammelte, wechselte Adalricus rechtzeitig die Partei. Wie verschiedene andere Große sagte er sich von dem von Ebroin gehaltenen Schattenkönig Theuderich III. los und ging zu Childerich III., dem austrasischen König und damit zu Pippin über. Es zeigte sich bald, dass er damit die zukunftsstarke Partei gewählt hatte. Mochte Ebroin seinen Besitz in Burgund auch konfiszieren lassen, Pippin konnte ihn reichlicher entschädigen: nachdem noch 664-666 im Elsaß ein Herzog Bonifatius genannt worden war, tritt wenige Jahre danach bereits Adalricus, oder wie er nun genannt wird, Etich(o) als Inhaber des wesentlich mit militärischen Sicherungsaufgaben gegen die unabhängigeren Alemannen östlich des Rheins betrauten elsässischen Dukats auf.
So ist Adalricus/Eticho um 673 ins Elsaß gekommen und seine Nachkommen sollten auf viele Jahrhunderte hinaus eng mit diesem Land am Oberrhein verbunden bleiben. Adalricus lebt noch 682; nach seinem Tode übernimmt sein Sohn Adalbert den elsässischen Dukat, und diesem folgt der Adalbert-Sohn Liutfrid nach.
Den Namen hat die Familie von dem Stammvater Eticho/Adalricus, der 673 als 3. bekannter fränkischer dux im Elsaß nachgewiesen ist. Vor 673 ist keine Beziehung des Adalricus zum Elsaß feststellbar. Danach trägt Adalricus seine herzogliche Herrschaft nach Süden in den Sornegau vor. Er befiehlt die Centenare des Juratales vor sich und schickt sie in die Verbannung. Seine Maßnahmen in dieser südlichen Randzone des alemannischen Einflusses wurden vom Germanen-Vitenschreiber ablehnend als Plünderung und rechtloser Eingriff interpretiert. Im Elsaß selbst ist Adalricus als Klostergründer von Ebersheim und Hohenburg zu erkennen. Nach den Ebersheimer Fälschungen und der dortigen Chronik sollen Herzog Atticus und seine Gemahlin Berswinda Stifter dieser Abtei sein. Auch Hohenburg/Niedermünster ist die Initiative dieses Herzogs offenliegend und seine Tochter Odilia schenkt nach der auf ihren Namen gefälschten Urkunde ihren von ihrem Vater ererbten Besitz an diese Odilienbergklöster. 682 ist Herzog Adalrich/Eticho noch am Leben.
Aber auch im letzten Jahrzehnt liegen mehrere Bezeugungen eines oder mehrerer hochadliger Träger dieses Namens vor, deren Identität mit dem Elsaßherzog durchaus möglich, doch nicht streng beweisbar ist. So finden wir 693 und 697 im königlichen Placitum unter Chlodwig III. und Childebert III. unter den "comitebus" einen Adalricus.


oo Bersuinda


Kinder:

Adalbert
- vor 11.12.722

Odilia 1. Äbtissin von Hohenburg
-

Batticho
-

Hugo
-


Hetticho 
D'ALSACE, Ethico Ier (I911)
 
395 #Générale#ADÉLAÏDE d'Anjou ou Alix la Blanche
(née vers 945, morte en 1026)

Épouse Louis V (pas encore roi de France) en 981
S œur de Geoffroy d'Angers, elle était la fille de Foulques II comte d'Anjou et de Gerberge du Maine. Lorsqu'elle épousa le jeune Louis V (pas encore roi de France) à Brioude, elle était veuve du comte Etienne de Gévaudan (mort en 970) dont elle avait eu des enfants, et du comte Raymond de Toulouse (mort en 978).

S on époux lui déplaisant - le mariage avait été savamment organisé par Lothaire III, père de Louis -, on prétend qu'elle imagina de conduire Louis au delà de la Loire, en le persuadant qu'il pourrait faire la conquête de l'Aquitaine, et que là elle le laissa pour prendre la fuite en Provence, fit dissoudre son mariage (983) avec le futur roi de France et se maria avec Guillaume dit le Libérateur, comte de Provence.

Cependant, on ne sait ni comment ni par qui elle fit casser son mariage princier. Ramenée par Lothaire qui alla la chercher, elle était semble-t-il toujours mariée à Louis lorsqu'il devint roi de France en 986, car ce double mariage faisait grand bruit à Rome. Le souverain mourut l'année suivante, et Adélaïde fut accusée de l'avoir empoisonné, comme on avait accusé Emma d'avoir empoisonné Lothaire un an plus tôt, mais les chroniques incomplètes du temps ne fournissent aucune preuve à l'appui de cette double accusation.

L a reine éphémère oublia vite sa nouvelle condition pour rester comtesse d'Arles. Certains auteurs avancent qu'elle rendit son dernier souffle en 993, mais il semble que ce soit en réalité l'année de la seule mort du comte Guillaume, son époux. Adélaïde, elle, se serait remariée en 1016 avec le comte Othon de Bourgogne, et serait morte en 1026.

Adélaïde d'Anjou n'eut aucun enfant de Louis V. 
D'ANJOU, Adélaïde (I1308)
 
396 #Générale#Adélaïde de Bourgogne

Née vers l'an 931, morte à Seltz en 999, Adélaïde est un personnage qui semble avoir eu une influence plus politique que religieuse. Fille du roi de Bourgogne Rodolphe II, mariée très jeune au roi des Lombards Lothaire, elle se retrouve bien vite veuve, son mari ayant été empoisonné par Bérenger II, marquis d'Ivrée, qui prend sa place, gardant prisonnière la reine Adélaïde. Mais celle-ci appelle à son secours le roi des Germains (futur empereur des Romains) Otton Ier, qui l'épouse en 951 et détrône Bérenger.

Couronnée impératrice avec son époux en février 962, elle devient veuve en mai 973. Sa mésentende avec sa belle-fille Théophano provoque un premier éloignement de la cour par son fils Otton II. Après le décès de celui-ci en décembre 983, elle doit pourtant s'allier avec sa bru pour arracher son petit-fils Otton III, encore mineur, à la garde de Henri le Querelleur. De la mort de Théophano en juin 991 à la majorité d'Otton III en 995, elle assure la régence de l'empire.

Elle meurt en 999, l'année où son ami Gerbert devient pape sous le nom de Sylvestre II. On lui doit la fondation de nombreux monastères, notamment celui de Seltz, où elle a fini sa vie.

Elle est devenue sainte Adélaïde. Sa fête dans le calendrier catholique : le 16 décembre. 
DE BOURGOGNE, Aelis ou Adélaïde (Sainte) (I9811)
 
397 #Générale#Adélaïde de Vermandois et de Valois,

(v.1062 † 1122), fille d'Herbert IV, comte de Vermandois et d'Alix de Valois (1104-1141).

De son mariage avec Hugues Ier le Grand, (1057 † 1102), elle eut :

Mahaut, ou Maud ou Mathilde, (1080-1130), mariée en 1090 avec Raoul Ier de Beaugency (1068 † 1113)
Béatrice (1082-après 1144), mariée à Hugues III de Gournay
Raoul Ier (1085-14 octobre 1152)
Isabelle de Vermandois ou Elisabeth (1085-1131), mariée à Robert de Beaumont, comte de Meulan, puis à Guillaume II de Warenne, comte de Surrey
Constance, (1086-??), mariée à Godefroy de la Ferté-Gaucher
Agnès (1090-1125), marié à Boniface de Savone
Henri (1091-1130), seigneur de Chaumont en Vexin
Simon (1093-10 février 1148), évêque de Noyon
Guillaume, (vers 1094-vers 1096) 
DE VERMANDOIS, Alix (I89188)
 
398 #Générale#Adélaïs de SOISSONS, fille & héritière de Gesilbert ou Gilbert, qualifié comte de Soissons, comtesse de Soissons, se remaria à Motcher comte de Bar sur Aube & de Soissons à cause d'elle. Ils sont nommez ensemble en quelques chartes du cartulaire de Flavigny. DE SOISSONS, Adélaïs (I82648)
 
399 #Générale#Adèle de FRANCE, fut mariée à Amiens l'an 1028. fonda en 1065. l'abbaïe de Messines, à deux lieuës d'Ipres, pour trente filles nobles, qui suivroient la règle de S. Benoît, & douze ecclésiastiques pour leur administrer les Sacremens. Après la mort de son mari elle alla à Rome, reçût des mains du pape Alexandre II. le voile de religieuse, & revînt en l'abbaïe de Messines passer le reste de ses jours jusqu'à sa mort arrivée en 1079. Son corps y fut inhumé. DE FRANCE, Adéle ou Alix (I13353)
 
400 #Générale#Adèle de Normandie
Elle est la fille de Rollon le Marcheur et de Poppa de Bayeux, et la sœur du duc normand Guillaume Longue-Épée. Née sous le nom scandinave de Gerloc, elle est baptisée à Rouen sous le nom dAdèle en 912 ; en 935 elle est donnée pour épouse à Guillaume, futur comte de Poitiers et futur duc d'Aquitaine, alors âgé de dix ans. Elle meurt le 14 octobre 962.

Elle a deux enfants :

le duc Guillaume Fierabrace (vers 935 - 993) ;
la princesse Adélaïde d'Aquitaine, épouse du premier roi capétien Hugues Capet. 
DE NORMANDIE, Adèle Emmeline ou Gerloc (I69140)
 

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